jeudi 29 avril 2010

Un Dictionnaire amoureux de Théo


Dans cette contribution à un dictionnaire amoureux de Théo, nous en sommes à la lettre B.

B comme "BON ANNIVERSAIRE THEO"

Le 29 avril 2010, notre petit Bout de choux vient d'avoir deux ans et pour la première fois de sa vie, il a soufflé les bougies de son gâteau d'anniversaire. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il a beaucoup aimé tenter d'éteindre les bougies (il a du s'y reprendre à plusieurs reprises) et a particulièrement apprécié le gâteau aux fraises, partagé avec ses grands parents.



A cette occasion, il a encore été gâté, il commence donc à n'initier aux joies, aux sensations et aux dangers du tricycle et tente encore de manière malhabile à coordonner pédalage et manœuvre d'un guidon pour garder le cap, heureusement une barre permet aux parents de maîtriser la situation avant qu'elle ne tourne mal, sans trop se casser le dos.


B comme BRICOLAGE.

Depuis que nous vivons avec Théo, nous avons constaté sa faculté d'imitation et son sens pratique, il est excessivement attiré par les outils et tous les objets techniques dont la voiture de son Papa.

Le jour de son anniversaire, lors du réglage de la hauteur de la selle et du guidon de son tricycle, Théo s'est beaucoup intéressé à la clé à "pipe" qu'il manipule avec une adresse étonnante. Je pense que j'aurai rapidement de l'aide pour jardiner car il est maintenant équipé et ne demande que cela avec son petit seau et son arrosoir.


B comme BABILLAGE.

Si les progrès de sa compréhension son remarquable, le langage de Théo reste pour la moment au stade du charmant babillage enfantin, nous avons certes droit à Papa et Maman depuis longtemps mais son vocabulaire ne s'est enrichi que de quelques noms Philippe, Anne , compote de pommes, au revoir c'est charmant mais limité.
Il n'a pas besoin de se fatiguer car il a adopté un très efficace langage des signes lui permettant de se faire parfaitement comprendre, il faut voir comme il tape bruyamment sur la table montrant le sol de son doigt tendu pour nous signifier qu'il veut qu'on le libère de sa chaise haute et rapidement!!


B comme BISOUS.

Alors qu'il semblait jusqu'alors tout ignorer des bisous, des câlins et de ces petits gestes de tendresse quotidienne qui rythment la vie des nouveaux-nés , Théo depuis qu'il vit avec nous est en permanence en demande de contact physique, de cette chaleur qui le fait s'accrocher à notre cou lorsqu'il craint qu'elle que chose ou tout simplement lorsqu'il se sent bien.
Il attend de nous au même titre que ses repas, sa dose quotidienne de bisous aussi indispensable pour vivre heureux.
Ses yeux en disent alors plus long que tous les traités de puériculture.



jeudi 8 avril 2010

Un Dictionnaire amoureux de Théo.


Contribution à l'élaboration d'un dictionnaire amoureux (cela se fait beaucoup en ce moment) de notre petit Théo, lettre A comme:

AMOUR. Bien sûr. Comment se fait-il, qu'un tout petit bonhomme de rien du tout, dont nous ignorions même jusqu'à l'existence il y a moins d'un an, occupe aujourd'hui tout notre esprit, soit l'objet de toutes nos préoccupations et que nous soyons sans cesse entrain de veiller à son bien être? Il n'y a pas de doute, c'est l'Amour. Comment un sentiment si fort peut naître si rapidement puisqu'il ne nous aura fallu que quelques heures pour arriver à cet abandon de nous pour lui? Là réside le vrai mystère qui contredit totalement la théorie du gène égoïste.



Certes, cet enfant est adorable, aussi gentil qu'intéressant, curieux de tout découvrir, mais je pense qu'il ne serait pas ainsi, que nous l'aimerions quand même.

Les suites de l'opération, déplâtré au bout d'une semaine, Théo avec un petit pansement au pied droit a vite retrouvé son agilité et se glisse dans les endroits les plus improbables, pas d'inquiétude,nous ne l'obligeons pas encore à faire ses prières tous les soirs!



A comme:

AIDER: THEO a un comportement remarquable qui lui est venu naturellement sans que nous fassions quoi que ce soit pour le provoquer, il cherche toujours à nous aider. Spontanément, il sort du panier et apporte à Sylvie les objets achetés lorsqu'elle rentre des courses. Dans le jardin il me tend les outils dont je me sers, le matin, il donne son peignoir à Sylvie ou mes affaires lorsque je me change le soir en rentrant du travail. C'est proprement stupéfiant, où va-t-il chercher cette idée, il y aurait-il un gène de l'altruisme?
En parents bien gâteux nous avons de vastes ambitions pour lui, mais une carrière de SAINT c'est assez rare mais pourquoi pas, on verra bien plus tard s'il persiste dans cette voie!




Mais au fait c'était Pâques, les cloches sont revenues, nous ne voyons plus le temps passer, tellement occupés que nous sommes par notre petit Trésor. Cet œuf du réchauffement climatique a vite été réduit en miette par notre bambin mais par contre à notre grande surprise, il ne semble pas apprécier particulièrement le chocolat.